Création d’un site web, gestion des bases de données indexées, stockage de données sécurisées sur un serveur informatique externe, etc. ; toutes ces missions et beaucoup d’autres justifient l’intervention d’un développeur web. Pourtant, peu d’entreprises affichent ce type d’emploi sur leur liste de salariés !
Cela confirme l’existence d’un volume d’activité non négligeable, potentiellement accessible aux freelances en développement web.
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Mais avant de se déclarer « freelance en développement web » pour contacter entreprises en demande, l’entrepreneur doit effectuer les démarches indispensables à sa reconnaissance en tant que tel.
Plan de l'article
Les missions du développeur web, en quelques mots !
Les développeurs web freelances peuvent avoir chacun un profil et une formation différents : BAC+2, BTS, DUT, Ingénieur, formation école spécialisée, etc. En tant que freelances, ils se destinent à la réalisation de missions pour l’entreprise cliente : analyse des besoins pour le projet et rédaction d’un cahier des charges avec le chef de projet, développement spécifique PHP, SQL, CSS, HTML, conception d’un site e-commerce, déploiement et tests (corrections des erreurs), maintenance, etc.
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Chez un client, la mission se concrétise par la signature du devis entre le freelance indépendant et ledit client. Elle s’effectue selon un planning conjoint et se termine lorsque les nouveaux développements sont opérationnels. Dans son tarif, le freelance peut inclure le suivi de son développement web ou le chef de projet peut souhaiter le prendre à sa charge.
Attention, le développeur web indépendant est constamment en « veille ». Il est sensé être au fait de toutes les informations sur l’avancement de la technologie et l’évolution des outils, afin d’accroître le niveau de ses compétences.
Que faut-il faire pour se lancer en freelance ?
En France, quatre formes juridiques s’offrent « naturellement » au développeur web freelance : Entreprise Individuelle (EI), Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (EIRL), Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL, SARL à associé unique) ou la SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle).
Aucun statut juridique parmi les quatre nommés, ne requiert d’expertise spécifique de la part du futur entrepreneur pour réunir les informations nécessaires à son dossier d’immatriculation. Malgré tout, il faut qu’il appréhende les principaux avantages et inconvénients :
- Auto-entrepreneur (micro-entrepreneur) :
Les plus : inscription en ligne, régime micro-fiscal et régime social avantageux, aucune cotisation n’est due en cas d’absence d’activité.
Les moins : plafonnement du chiffre d’affaires à 70 000 € et celui de la TVA à 33 200 € (prestations de services commerciales/libérales), engagement de la responsabilité personnelle de l’entrepreneur.
- Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (EIRL) :
Les plus : responsabilité de l’entrepreneur limitée, patrimoine personnel non engagé, statut fiscal et statut social identiques à ceux de l’auto-entrepreneur (micro-entrepreneur).
- Création de société : SASU (Société à Actions Simplifiée Unipersonnelle) ou EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée)
Les plus : création d’une entité propre avec son patrimoine lié,
Les moins : rédaction des statuts d’entreprise, coût de création plus important.
Note, le freelance peut aussi choisir le portage salarial, et dans ce cas, il est salarié d’une société qui facture en son nom, encaisse le règlement client et le rémunère sous forme de salaire.
Jusque là, tous les indicateurs sont au vert et il semble effectivement qu’il soit facile d’obtenir un statut de freelance pour faire du développement web. Il faut ensuite que le freelance se concentre sur la gestion de sa structure professionnelle et en particulier, sur les aspects financiers et comptables pour lesquels le choix d’un partenaire financier (banque) est primordial.
Choisir un intervenant bancaire éminent !
Aujourd’hui, les banques d’affaires sont de plusieurs types : agence bancaire en ville, agence bancaire sur internet ou encore agence digitale, appelée aussi néobanque. C’est le cas de Qonto, qui se caractérise comme l’une des banques les mieux placées pour l’aide à la gestion de l’entreprise et du freelance indépendant.
Pour les développeurs web freelance, le digital doit se positionner comme une véritable démarche de gestion d’entreprise. Dans cette optique, le choix d’une banque digitale ou néobanque est une évidence.
Pour être attractive et se démarquer, la néobanque (banque digitale) doit avoir des process adaptés aux besoins de ses clients, liant technologie de pointe et accessibilité. Ces process sont renforcés par des outils performants et apparentés à un service clients réactif, disponible et compétent.
Gérer sa comptabilité de freelance facilement grâce à sa néobanque (Qonto)
La comptabilité du développeur web freelance est simplifiée grâce aux multiples spécificités mises à sa disposition par Qonto. Ainsi, Qonto est connectée au logiciel comptable de votre entreprise afin d’optimiser la saisie des données. Les justificatifs sont joints sous la forme de fichiers photos (smartphone).
Le suivi comptable est simple et efficace : les transactions comptables (rentrées et sorties d’argent) sont identifiées et classées par catégories, le montant de la TVA est automatiquement détecté et les reçus sont numérisés pour chacune des dépenses.
Important : En cours de création d’entreprise, le freelance peut, après avoir ouvert un compte bancaire chez Qonto, y déposer 100% du capital social. Ce compte est débloqué lorsque Qonto est en possession du Kbis de l’entreprise, validant les démarches de création.